Laura Cothereau

Faisons Connaissance...

À l’âge où mes camarades collectionnaient les cartes Pokémon, moi je collectionnais… les phobies.
Peur de vomir, des chiens, des guêpes, de l’avion… et même de l’école.
Pourquoi se limiter à une seule, après tout ?
Petit à petit, mes peurs ont pris leurs aises.
Comme une tâche d’huile, elles se sont étalées dans tous les recoins de mon quotidien.

Et elles ont grandi avec moi, bien décidées à ne jamais me lâcher :

  • Le ventre noué dès le réveil, rien qu’à l’idée d’aller à l’école (ou plus tard, au travail).
  • Des nuits à rejouer tous les scénarios possibles et imaginables, version Stephen King...
  • Et cette petite voix dans ma tête, celle de l’anxiété, qui commentait tout… et m’empêchait juste d’être moi.

Les professionnels que j’ai croisés à l’époque n’avaient visiblement pas trouvé le manuel.
Leurs réponses ?
“Mais voyons mademoiselle, vous êtes trop jeune pour stresser.” (Du coup, c’est quoi l’âge légal ?)
“Détendez-vous.” (Tiens, j’y avais pas pensé !)
“Pourquoi vous pleurez ?” (Si seulement je le savais...)

À force, j’ai fini par me dire que j’étais “comme ça” et qu’il fallait apprendre à vivre avec.

Et puis un jour, j’ai découvert l’hypnose.
Pas celle où les gens font la poule sur scène.
Non.
La vraie hypnose. Celle qui t’aide à dialoguer avec cette partie de toi qui a peur, pas pour t’embêter, mais pour te protéger (même si elle s’y prend très mal).
Et là… tout a changé.
En quelques séances, mes peurs ont commencé à perdre leur emprise.
Alors oui, il m’arrive encore d’avoir peur (je suis encore humaine, hein) mais la petite voix n’est plus qu’un murmure lointain.
Elle a arrêté de hurler.
Elle a cessé de décider à ma place.

Aujourd’hui, c’est ce chemin-là que j’ai envie de transmettre.

  • Un espace sécure, avec une compréhension profonde de ce que vous vivez, sans jugement.
  • Des réponses à vos questions. Pas les histoires que raconte le mental mais les vraies réponses de votre inconscient.
  • Et surtout, une autre façon de vivre.

Parce que non, vous n’êtes pas “trop sensible”.
Et non, vous n’êtes pas seule.
Vous méritez d’avoir l’esprit plus léger.
De respirer, vraiment.
De vivre sans cette peur qui vous suit partout.

Vous avez une question ?

Vous vous demandez si le suivi que je propose est adapté à votre situation ?

Contactez moi